Qu’est-ce qui vous a séduit dans le Festival des Mots ? C’est le fait de donner aux gens qui sont en vacances l’envie d’entendre de beaux textes, les inciter à lire, à redécouvrir certains auteurs, leur permettre de passer un moment agréable et émouvant mais aussi de prolonger ensuite ce plaisir. Le Festival des Mots montre aussi comment un lieu, une région peut être source d’inspiration pour un artiste et finalement pour chacun d’entre nous. Quelle place occupe la lecture dans votre vie ? Il y a des périodes où je lis énormément et d’autres où je ne possède pas dans ma tête l’espace nécessaire. Quand je suis devenue maman, impossible de lire les premiers temps ! Aujourd’hui j’ai une véritable boulimie de lecture comme je l’avais entre 20 et 30 ans. Et après avoir vécu cette expérience là, de l’écriture des Rêveurs, je ne lis plus pareil, c’est sûr. Vous êtes actrice, y-a-t-il une part de jeu dans une lecture publique ? On ne peut pas trop jouer dans une lecture, ni mettre trop d’interprétation personnelle, l’idée n’est pas de se mettre en avant… C’est seulement essayer d’être le meilleur passeur possible. Si vous deviez n’en citer qu’un, quel serait votre mot préféré ? La bienveillance. D’aller avec écoute et bienveillance entendre des auteurs que peut-être les gens ne connaissent pas. Ou alors qu’ils aiment retrouver. En l’occurrence, pour moi, ce sera Le Clézio qui est très aimé. Je pense que les gens vont être heureux de le redécouvrir dans un cadre privilégié. J’adore jouer en plein air, il y a les étoiles, il y a une magie qui se passe dans ces festivals. C’est un moment où l’on communie tous. L’actrice Isabelle Carré participe pour la première fois au Festival des Mots, dont la 8ème édition se déroule en juillet. Elle sera le vendredi 27 à Villeneuve-Loubet pour une lecture publique de nouvelles de J. M. G. Le Clézio. Cette amoureuse des mots a elle-même publié son premier roman en janvier dernier, Les Rêveurs, paru aux éditions Grasset. Qu’est-ce qui vous a séduit dans le Festival des Mots ? C’est le fait de donner aux gens qui sont en vacances l’envie d’entendre de beaux textes, les inciter à lire, à redécouvrir certains auteurs, leur permettre de passer un moment agréable et émouvant mais aussi de prolonger ensuite ce plaisir. Le Festival des Mots montre aussi comment un lieu, une région peut être source d’inspiration pour un artiste et finalement pour chacun d’entre nous. Quelle place occupe la lecture dans votre vie ? Il y a des périodes où je lis énormément et d’autres où je ne possède pas dans ma tête l’espace nécessaire. Quand je suis devenue maman, impossible de lire les premiers temps ! Aujourd’hui j’ai une véritable boulimie de lecture comme je l’avais entre 20 et 30 ans. Et après avoir vécu cette expérience là, de l’écriture des Rêveurs, je ne lis plus pareil, c’est sûr. Vous êtes actrice, y-a-t-il une part de jeu dans une lecture publique ? On ne peut pas trop jouer dans une lecture, ni mettre trop d’interprétation personnelle, l’idée n’est pas de se mettre en avant… C’est seulement essayer d’être le meilleur passeur possible. Si vous deviez n’en citer qu’un, quel serait votre mot préféré ? La bienveillance. D’aller avec écoute et bienveillance entendre des auteurs que peut-être les gens ne connaissent pas. Ou alors qu’ils aiment retrouver. En l’occurrence, pour moi, ce sera Le Clézio qui est très aimé. Je pense que les gens vont être heureux de le redécouvrir dans un cadre privilégié. J’adore jouer en plein air, il y a les étoiles, il y a une magie qui se passe dans ces festivals. C’est un moment où l’on communie tous.