Dans les paysages très particuliers de Thorenc, que certains ont pu trouver proches des paysages suisses, la Commune, l’ONF et le Parc naturel régional des Préalpes d’Azur ont saisi l’opportunité d’une coupe accessible, en bordure de route, pour évoquer les enjeux de l’exploitation forestière.Sur une parcelle était proposée une approche traditionnelle avec du débardage à cheval, tandis que sur l’autre parcelle, des engins modernes abattaient et extrayaient les arbres.Deux approches très différentes dans un même morceau de forêt, deux économies, deux logiques et forcément, deux réactions différentes à prévoir de cette forêt dans les mois et les années à venir.Par contre, une même préoccupation, celle de faciliter le renouvellement de la végétation mais également son évolution… dans le bon sens.Autant de confrontations à cette réalité de terrain avec, en toile de fond, une notion qui ne nous est pas forcément familière : les paysages, « nos » paysages, n’ont pas toujours été ainsi, ils ont évolué, se sont transformés et… continueront de le faire. A l’homme de savoir intervenir avec mesure et discernement pour arriver à concilier tout ce qu’il peut tirer du bois, tout en chérissant notre biodiversité. Dans les paysages très particuliers de Thorenc, que certains ont pu trouver proches des paysages suisses, la Commune, l’ONF et le Parc naturel régional des Préalpes d’Azur ont saisi l’opportunité d’une coupe accessible, en bordure de route, pour évoquer les enjeux de l’exploitation forestière. Une parcelle proposait une approche plus traditionnelle, notamment avec du débardage à cheval, tandis que sur la seconde, c’étaient des engins modernes qui abattaient et extrayaient les arbres. Deux approches très différentes dans un même morceau de forêt, deux économies, deux logiques et forcément, deux réactions différentes à prévoir de cette forêt dans les mois et les années à venir. Par contre, une même préoccupation, celle de faciliter le renouvellement de la végétation mais également son évolution… dans le bon sens. Autant de confrontations à cette réalité de terrain avec, en toile de fond, une notion qui ne nous est pas forcément familière : les paysages, « nos » paysages, n’ont pas toujours été ainsi, ils ont évolué, se sont transformés et… continueront de le faire. A l’homme de savoir intervenir avec mesure et discernement pour arriver à concilier tout ce qu’il peut tirer du bois, tout en chérissant notre biodiversité.