Eze le nid d’aigle Comme recroquevillé sur lui-même, entre le ciel et l’eau, perché sur un piton rocheux à 429 mètres d’altitude, Èze est un dédale de ruelles, de placettes, de coursives. Où l’on se perd avec plaisir. Ici une poterne, double porte fortifiée du XIVe siècle, et une canonnière, là une fontaine italienne de 1930. Plus loin, une église baroque achevée en 1772, recouverte de trompe-l’œil étonnants, une chapelle des pénitents blancs… Eze offre un incroyable voyage dans le passé. Sur les traces de Nietzsche Depuis le bord de mer, non loin de la gare d’Èze-sur-Mer, le randonneur est aujourd’hui invité à emprunter le « chemin de Nietzsche », et à ainsi marcher sur les pas du poète. C’était il y a 135 ans, le célèbre Friedrich Nietzsche découvrait «le merveilleux village maure Eza, bâti au milieu des rochers», comme le présentait lui-même le philosophe allemand. Rongé par la maladie et le manque de reconnaissance, son moral était alors au plus bas. Cette rencontre avec le nid d’aigle ézasque allait redonner à Nietzsche le goût d’écrire. Il se dit que c’est en parcourant le sentier qui relie Èze village depuis Èze bord-de-mer que le penseur a trouvé l’inspiration pour composer la troisième partie de son poème philosophique Ainsi parlait Zarathoustra ! Le jardin exotique Aménagé sur les ruines de l’ancienne forteresse médiévale, le jardin exotique offre une expérience sensitive exceptionnelle. La partie sud, ensoleillée et sèche, trouve son pendant au nord, humide et ombragé. Des centaines d’espèces végétales s’y côtoient, le long du chemin vers le sommet. Depuis peu, le site s’est doté d’une extension à l’ouest, axée sur l’eau, avec brumisateurs et cascades. Et, puis, il y a la vue… à couper le souffle ! Le jardin exotique d’Eze offre une terrasse ouverte sur la Côte d’Azur. Les jours où le ciel d’azur est fidèle à sa réputation on peut apercevoir au-delà de l’Estérel le Golfe de Saint-Tropez. Eze le nid d’aigle Comme recroquevillé sur lui-même, entre le ciel et l’eau, perché sur un piton rocheux à 429 mètres d’altitude, Èze est un dédale de ruelles, de placettes, de coursives. Où l’on se perd avec plaisir. Ici une poterne, double porte fortifiée du XIVe siècle, et une canonnière, là une fontaine italienne de 1930. Plus loin, une église baroque achevée en 1772, recouverte de trompe-l’œil étonnants, une chapelle des pénitents blancs… Eze offre un incroyable voyage dans le passé. Sur les traces de Nietzsche Depuis le bord de mer, non loin de la gare d’Èze-sur-Mer, le randonneur est aujourd’hui invité à emprunter le « chemin de Nietzsche », et à ainsi marcher sur les pas du poète. C’était il y a 135 ans, le célèbre Friedrich Nietzsche découvrait «le merveilleux village maure Eza, bâti au milieu des rochers», comme le présentait lui-même le philosophe allemand. Rongé par la maladie et le manque de reconnaissance, son moral était alors au plus bas. Cette rencontre avec le nid d’aigle ézasque allait redonner à Nietzsche le goût d’écrire. Il se dit que c’est en parcourant le sentier qui relie Èze village depuis Èze bord-de-mer que le penseur a trouvé l’inspiration pour composer la troisième partie de son poème philosophique Ainsi parlait Zarathoustra ! Le jardin exotique Aménagé sur les ruines de l’ancienne forteresse médiévale, le jardin exotique offre une expérience sensitive exceptionnelle. La partie sud, ensoleillée et sèche, trouve son pendant au nord, humide et ombragé. Des centaines d’espèces végétales s’y côtoient, le long du chemin vers le sommet. Depuis peu, le site s’est doté d’une extension à l’ouest, axée sur l’eau, avec brumisateurs et cascades. Et, puis, il y a la vue… à couper le souffle ! Le jardin exotique d’Eze offre une terrasse ouverte sur la Côte d’Azur. Les jours où le ciel d’azur est fidèle à sa réputation on peut apercevoir au-delà de l’Estérel le Golfe de Saint-Tropez.