Parole(s) autour de... Le petit carnet des Editions Parole - N#1
Dans son numéro de fin mars, le "Courrier international" titrait : "REPENSER LE MONDE, et si la crise du coronavirus était l'occasion d'un nouveau départ ? Philosophes, poètes, journalistes étrangers, ils veulent y croire"... Nous nous y associons volontiers !
Aujourd'hui, tout comme des dizaines de milliers d'autres entreprises, les éditions Parole sont à l'arrêt, enfin presque... nous expédions les quelques commandes que vous nous passez, nous essayons de faire en sorte d'être toujours capables d'accompagner nos auteurs et de porter nos livres vers les lecteurs quand tout cela finira.
Car tout cela finira.
Et après ? N'est-ce pas le moment de "REPENSER LE MONDE" en vue de cet après ?
En tous cas, nous on le pense et ça nous met de bonne humeur ! Voilà pourquoi toute l'équipe Parole est sur le pont et prépare de nouvelles choses à vous offrir maintenant et demain, de nouveaux services, de nouvelles idées, de nouveaux médias. Non pas que nous ne croyons plus au livre papier, bien au contraire, mais pour vous offrir toujours plus de facilités pour les découvrir, pour y accéder, pour les enrichir, pour les contextualiser.
Voilà pourquoi, après notre "Petit journal", nos "Petites lettres" régulières, nous choisissons aujourd'hui de lancer ce "Petit carnet des éditions Paroles", basé sur une technologie multimédia dont nous sommes les inventeurs avec l'équipe AlterMondo.
Ce premier "Carnet" est donc un "Spécial printemps confiné", il restera vivant et, chaque jour, s'enrichiera de nouvelles rencontres, de nouvelles infos. Des auteurs nous recevront chez eux, des contributeurs vous proposeront des surprises, des comédiens vous liront des extraits ou des livres entiers bref, mettez ce petit carnet dans vos favoris et revenez-y régulièrement pour y trouver des nouveautés. Diffusez-le autour de vous, chacun y trouvera certainement quelque-chose qui peut l'intéresser...
Plus que jamais l'équipe Parole pense qu'il est important voire nécessaire, de déveloper entre nous de nouveaux cercles vertueux, que nous soyons lecteurs, auteurs, libraires ou éditeurs... Nous avons tant de bons moments et de nouveaux voyages à inventer ensemble...
Page 9 : Le petit carnet des Editions Parole - N#1
En 2019, depuis sa Bretagne natale, Anne Lecourt nous livrait « Sept jours en face », un premier roman intimiste et énigmatique construit en miroir, une quête sur la vérité des origines, une histoire de résilience et de réconciliation, où le paysage, omniprésent, est presque une figure poétique à part entière.
Très vite remarqué par les libraires, le livre part à la rencontre de son public et le voilà en phase finale du « Festival du Premier Roman et des Littératures Contemporaines de Laval ».
C’est ensuite l’Europe qui s’ouvre à lui. « Sept jours en face » est sélectionné pour représenter la France au « Festival européen du premier roman », à Kiel en Allemagne. Les éditions Parole sont très fières de se rendre à Kiel au mois d’octobre (nouvelle date prévue par les organisateurs) aux côtés d’Anne Lecourt pour porter les couleurs de l’édition française.
Puis c’est l’Amérique francophone qui remarque ce livre et le sélectionne pour le « Prix littéraire Québec-France Marie-Claire Blais » qui sera remis en avril 2021 au Salon international du livre de Québec.
« Sept jours en face » a... de beaux jours en face mais il n’est pas le seul livre des éditions Parole à attirer l’attention des jurys de prix littéraires... Premier roman également : « L’amer du thé » de Jean Darot, lauréat de la 33e édition du Festival du premier roman de Chambéry. « Ce roman initiatique nous conduit de la Chine à la Provence en passant par la Cornouailles puis la côte ouest du Groenland. » Marc Gaucherand, librairie Le Bleuet à Banon. Rendez-vous en octobre à Chambéry. C’est aussi le très remarqué recueil de nouvelles de Fanny Saintenoy, « J’ai dû vous croiser dans Paris », choisi dans la sélection finale des 3 auteurs en lice pour le prix Place aux Nouvelles 2020. Cette autrice dont Frédéric L’Helgoualch dit dans Mediapart : « Fanny Saintenoy, un œil, une sensibilité à vif, ou comment faire monter l’émotion avec simplicité et maestria. Et qui sait, chanceux : peut-être l’avez-vous déjà croisée dans Paris ? »