A côté de la ruche d’entreprises du quartier de l’Arénas, le Musée départemental des Arts Asiatiques (MAA) est comme une oasis de tranquillité au cœur d’une zone urbanisée. 20 ans après son inauguration en 1998, il surprend toujours par son architecture contemporaine en rupture avec son environnement immédiat. Œuvre du grand architecte japonais Kenzô Tange, qui a signé ici son seul musée en Europe, le bâtiment repose sur le contraste des formes pleines et des parois transparentes. Le marbre blanc recouvre les murs extérieurs du musée qui se reflètent sur un miroir d’eau baignant également le Parc botanique et zoologique Phoenix, inauguré quelques années plus tôt. « Dans mon esprit, ce musée est comme un cygne qui flotte sur l’eau d’un lac paisible au bord de la Méditerranée, au cœur d’une végétation luxuriante », révélait à l’époque l’architecte. Les formes sont simples : le carré, symbole de la terre au Japon, et le cercle, symbole du ciel. La lumière joue un rôle prépondérant, elle pénètre par le centre du bâtiment et offre aux visiteurs une succession d’espaces éclairés et sombres. Il s’en dégage un côté reposant qui favorise l’immersion dans les quatre grandes civilisations asiatiques, Chine, Japon, Asie du Sud-Est et Inde. « La singularité du lieu tient à la volonté d’en faire, dès l’origine, un musée de sensibilisation aux arts asiatiques avec un parti pris exigeant », explique Sylvie de Galleani, Conservateur en chef des musées départementaux. « Celui de montrer peu de pièces, mais choisies pour leur grand intérêt artistique et/ou archéologique. » Les collections se sont enrichies, au fil des ans, par des achats d’œuvres, des dons de collectionneurs privés et des partenariats avec de grandes institutions muséales. Comme avec le Musée Guimet, à Paris, qui est la référence internationale en matière d’arts asiatiques. Le MAA bénéficie du label Musée de France qui lui garantit la possibilité d’exposer des œuvres de grande qualité. D’autres partenariats, avec le Musée des arts décoratifs de Paris ou le Musée de la Cour d’Or à Metz, renforcent sa position privilégiée. A côté de la ruche d’entreprises du quartier de l’Arénas, le Musée départemental des Arts Asiatiques (MAA) est comme une oasis de tranquillité au cœur d’une zone urbanisée. 20 ans après son inauguration en 1998, il surprend toujours par son architecture contemporaine en rupture avec son environnement immédiat. Œuvre du grand architecte japonais Kenzô Tange, qui a signé ici son seul musée en Europe, le bâtiment repose sur le contraste des formes pleines et des parois transparentes. Le marbre blanc recouvre les murs extérieurs du musée qui se reflètent sur un miroir d’eau baignant également le Parc botanique et zoologique Phoenix, inauguré quelques années plus tôt. « Dans mon esprit, ce musée est comme un cygne qui flotte sur l’eau d’un lac paisible au bord de la Méditerranée, au cœur d’une végétation luxuriante », révélait à l’époque l’architecte. Les formes sont simples : le carré, symbole de la terre au Japon, et le cercle, symbole du ciel. La lumière joue un rôle prépondérant, elle pénètre par le centre du bâtiment et offre aux visiteurs une succession d’espaces éclairés et sombres. Il s’en dégage un côté reposant qui favorise l’immersion dans les quatre grandes civilisations asiatiques, Chine, Japon, Asie du Sud-Est et Inde. « La singularité du lieu tient à la volonté d’en faire, dès l’origine, un musée de sensibilisation aux arts asiatiques avec un parti pris exigeant », explique Sylvie de Galleani, Conservateur en chef des musées départementaux. « Celui de montrer peu de pièces, mais choisies pour leur grand intérêt artistique et/ou archéologique. » Les collections se sont enrichies, au fil des ans, par des achats d’œuvres, des dons de collectionneurs privés et des partenariats avec de grandes institutions muséales. Comme avec le Musée Guimet, à Paris, qui est la référence internationale en matière d’arts asiatiques. Le MAA bénéficie du label Musée de France qui lui garantit la possibilité d’exposer des œuvres de grande qualité. D’autres partenariats, avec le Musée des arts décoratifs de Paris ou le Musée de la Cour d’Or à Metz, renforcent sa position privilégiée.