C’est dans les bureaux des éditions Chroniques Sociales, au cœur du Lyon ancien entre Rhône et Saône que pendant ces deux jours ont planché les participants. Dans une ambiance confraternelle et constructive, les divers points du programme ont été scrupuleusement abordés. Sur une proposition d’Albert de Pétigny et en guise d’ouverture de la session, il s’agit d’abord d’interroger chaque participant sur ses attentes au sujet de ce séminaire. Post-it et paperboard aidant, quelques grands axes émergent de l’expression collective : les valeurs de la FEDEI ; la place des associations dans celle-ci ; sa communication vers les adhérents, vers le public, vers les institutions ; son positionnement par rapport aux institutions ; la définition de ses actions prioritaires, leurs objectifs et leur calendrier.Autant d’items pouvant être mis en relation selon le schéma dynamique ci-contre.Cet exercice collectif a libéré la parole et clarifié des points qui étaient peut-être jusqu’alors restés obscurs ; les participants entament la première journée de travail avec un cadre et des perspectives partagées. Cette première journée leur permet d’aborder les points suivants : accord sur un texte manifeste quant aux valeurs de la FEDEI, pistes pour la révision des statuts et du règlement intérieur et clarification des groupes de travail en commissions (Salons et festivals jeunesse, charte-label, communication, relation avec les acteurs institutionnels, les mardis de l’édition indépendante et OPlibris). Outre ces différents sujets auxquels les participants apportent leurs contributions par leurs idées ou remarques, il est décidé en fin de journée de constituer une commission « salons et festivals généralistes » dont l’objectif serait de renforcer les liens avec les organisateurs d’événements littéraires. Avec le sentiment d’avoir bien travaillé, les participants terminent la soirée dans le climat chaleureux d’un bouchon lyonnais.