Porte d’entrée sur l’Estérel Saint-Raphaël est la «grande» ville de l’est du département, la porte d’entrée du territoire et du massif de l’Estérel qui décline ses palettes de verts et les tons sur tons de gris, bleu et noir, voire de rouge, des roches volcaniques figées pour l’éternité depuis quelques millions d’années à la suite d’éruptions en mer. Au cœur de cet espace où se juxtaposent des sites naturels remarquables, la ville longe le port - à moins que ce ne soit l’inverse - toute imprégnée de culture méditerranéenne et provençale : les vestiges romains témoignent de son ancienneté, plus encore les dolmens et menhirs essaimés alentours ; les marchés rythment le quotidien aussi bien que la vie nocturne sur le front de mer où se déroulent force animations. Ville connectée Mais Saint-Raphaël c’est aussi une station balnéaire riche de 28 plages très diverses et toujours attractives sur ses 35 kilomètres de façade maritime où se nichent 5 ports. La rade d’Agay - « favorable » en grec - la corniche d’Or et les calanques d’Anthéor / Le Trayas, le sentier du littoral de 11 kilomètres, du port de Santa-Lucia à Agay, la tour de l’Ile d’Or - dont on dit qu’elle inspira Hergé, le père de Tintin, au moment d’illustrer l’Ile Noire - le pic de l’Ours, le cap Roux sont quelques uns des passages obligés, sans omettre - mémoire oblige - le cap Dramont, là où 20 000 GI’s ont initié le débarquement en Provence, en août 1944. En harmonie avec son histoire et son siècle, Saint-Raphaël a développé les nouvelles technologies pour s’ériger en « ville connectée » et favoriser les visites, rallyes, jeux à flasher pour aller au-delà des découvertes sur le terrain. Porte d’entrée sur l’Estérel Saint-Raphaël est la «grande» ville de l’est du département, la porte d’entrée du territoire et du massif de l’Estérel qui décline ses palettes de verts et les tons sur tons de gris, bleu et noir, voire de rouge, des roches volcaniques figées pour l’éternité depuis quelques millions d’années à la suite d’éruptions en mer. Au cœur de cet espace où se juxtaposent des sites naturels remarquables, la ville longe le port - à moins que ce ne soit l’inverse - toute imprégnée de culture méditerranéenne et provençale : les vestiges romains témoignent de son ancienneté, plus encore les dolmens et menhirs essaimés alentours ; les marchés rythment le quotidien aussi bien que la vie nocturne sur le front de mer où se déroulent force animations. Ville connectée Mais Saint-Raphaël c’est aussi une station balnéaire riche de 28 plages très diverses et toujours attractives sur ses 35 kilomètres de façade maritime où se nichent 5 ports. La rade d’Agay - « favorable » en grec - la corniche d’Or et les calanques d’Anthéor / Le Trayas, le sentier du littoral de 11 kilomètres, du port de Santa-Lucia à Agay, la tour de l’Ile d’Or - dont on dit qu’elle inspira Hergé, le père de Tintin, au moment d’illustrer l’Ile Noire - le pic de l’Ours, le cap Roux sont quelques uns des passages obligés, sans omettre - mémoire oblige - le cap Dramont, là où 20 000 GI’s ont initié le débarquement en Provence, en août 1944. En harmonie avec son histoire et son siècle, Saint-Raphaël a développé les nouvelles technologies pour s’ériger en « ville connectée » et favoriser les visites, rallyes, jeux à flasher pour aller au-delà des découvertes sur le terrain.