Le Pays de Fayence Soit 9 villages réunis en communauté de communes : Bagnols-en-Forêt, Callian, Fayence, Mons, Montauroux, Saint-Paul-en-Forêt, Seillans, Tanneron, Tourrettes - c’est, pour dénominateur commun, une ligne de crête, modeste mais ô combien importante dans le paysage, de 72 à 501 mètres, qui domine une étendue d’eau de 420 hectares, le lac de Saint-Cassien. Son miroir vert ou bleu est visible de tous les points hauts. Il faut y faire étape sur la route des vacances pour profiter des loisirs sportifs - sur terre - avec balades pédestres, à cheval ou à VTT - et nautiques - avec baignades, pédalos, planches à voile et autres - sans oublier la pêche. De surprise en surprise Ainsi rafraîchis, les visiteurs peuvent attaquer un périple plein de surprises. Chacun des villages cités possède ses caractéristiques propres, son identité, ses monuments, même s’il y a, il est évident, un fond patrimonial commun, qu’il soit religieux, archéologique ou architectural. Partout se dresse des fontaines (13 dans le seul village de Fayence), des vestiges de château médiévaux à Bagnols, Callian, Fayence, ou Seillan, des portes sarrasines, des églises et chapelles, des tours de l’horloge, le plus souvent carrées… Dans de vieilles demeures se cachent aussi des musées des arts et traditions populaires. Costumes, linges et ustensiles du quotidien, outils polis par les gestes ancestraux sont ainsi exposés à Fayence. Alors qu’à Tourrettes, 40 artistes ont décoré portes et volets des maisons du village pour un musée à ciel ouvert du plus bel effet. Les sites archéologiques sont tout autant présents, comme à Mons et ses 11 dolmens sur le parcours PR2, ou à Bagnols, où l’on peut admirer les anciennes tailleries de meules en pierre dure pour les moulins à huile ou à blé, en service un millénaire avant notre ère jusqu’au… XVIIIe siècle ! La nature est également présente. L’olivier s’impose, mais aussi le mimosa à Tanneron qui abrite la plus grande forêt d’Europe de cet arbre d’or importé d’Australie par des botanistes britanniques, après qu’au XVIIIe siècle un incendie ait ravagé des hectares de pins de 30 mètres de haut. Le Pays de Fayence Soit 9 villages réunis en communauté de communes : Bagnols-en-Forêt, Callian, Fayence, Mons, Montauroux, Saint-Paul-en-Forêt, Seillans, Tanneron, Tourrettes - c’est, pour dénominateur commun, une ligne de crête, modeste mais ô combien importante dans le paysage, de 72 à 501 mètres, qui domine une étendue d’eau de 420 hectares, le lac de Saint-Cassien. Son miroir vert ou bleu est visible de tous les points hauts. Il faut y faire étape sur la route des vacances pour profiter des loisirs sportifs - sur terre - avec balades pédestres, à cheval ou à VTT - et nautiques - avec baignades, pédalos, planches à voile et autres - sans oublier la pêche. De surprise en surprise Ainsi rafraîchis, les visiteurs peuvent attaquer un périple plein de surprises. Chacun des villages cités possède ses caractéristiques propres, son identité, ses monuments, même s’il y a, il est évident, un fond patrimonial commun, qu’il soit religieux, archéologique ou architectural. Partout se dresse des fontaines (13 dans le seul village de Fayence), des vestiges de château médiévaux à Bagnols, Callian, Fayence, ou Seillan, des portes sarrasines, des églises et chapelles, des tours de l’horloge, le plus souvent carrées… Dans de vieilles demeures se cachent aussi des musées des arts et traditions populaires. Costumes, linges et ustensiles du quotidien, outils polis par les gestes ancestraux sont ainsi exposés à Fayence. Alors qu’à Tourrettes, 40 artistes ont décoré portes et volets des maisons du village pour un musée à ciel ouvert du plus bel effet. Les sites archéologiques sont tout autant présents, comme à Mons et ses 11 dolmens sur le parcours PR2, ou à Bagnols, où l’on peut admirer les anciennes tailleries de meules en pierre dure pour les moulins à huile ou à blé, en service un millénaire avant notre ère jusqu’au… XVIIIe siècle ! La nature est également présente. L’olivier s’impose, mais aussi le mimosa à Tanneron qui abrite la plus grande forêt d’Europe de cet arbre d’or importé d’Australie par des botanistes britanniques, après qu’au XVIIIe siècle un incendie ait ravagé des hectares de pins de 30 mètres de haut.