Il est difficile « d’exister » autrement que par la grâce de l’Abbaye éponyme pour la ville du Thoronet! Pourtant, cette petite commune du Cœur du Var ne manque ni d’atours ni d’atouts pour séduire les visiteurs, au-delà de l’enceinte magique de ce chef-d’œuvre de l’art roman, érigée entre 1160 et 1230, par la grâce des moines de l’ordre de Citeaux. L’abbaye Mais le « phare », architectural, culturel et spirituel de la commune n’en demeure pas moins l’Abbaye, la plus grande, la plus magnifique des « trois sœurs », les deux autres étant situées à Sénanque et Silvacane. Conçue selon les principes des idéaux du patron de l’ordre, Saint-Benoît - prônant la sobriété, l’éloignement, le travail et la prière - l’Abbaye cistercienne fait passer sur le visiteur un souffle qui le cloue, croyant ou non, d’adoration devant tant de beauté parfaite. L’acoustique y est de surcroît exceptionnelle, donnant aux chants grégoriens une puissance inégalée. Avec la prière et le recueillement, c’est la musique qui prend le mieux possession de ces lieux, avec quatre festivals (voir ci-contre). Il est difficile « d’exister » autrement que par la grâce de l’Abbaye éponyme pour la ville du Thoronet! Pourtant, cette petite commune du Cœur du Var ne manque ni d’atours ni d’atouts pour séduire les visiteurs, au-delà de l’enceinte magique de ce chef-d’œuvre de l’art roman, érigée entre 1160 et 1230, par la grâce des moines de l’ordre de Citeaux. L’abbaye Mais le « phare », architectural, culturel et spirituel de la commune n’en demeure pas moins l’Abbaye, la plus grande, la plus magnifique des « trois sœurs », les deux autres étant situées à Sénanque et Silvacane. Conçue selon les principes des idéaux du patron de l’ordre, Saint-Benoît - prônant la sobriété, l’éloignement, le travail et la prière - l’Abbaye cistercienne fait passer sur le visiteur un souffle qui le cloue, croyant ou non, d’adoration devant tant de beauté parfaite. L’acoustique y est de surcroît exceptionnelle, donnant aux chants grégoriens une puissance inégalée. Avec la prière et le recueillement, c’est la musique qui prend le mieux possession de ces lieux, avec quatre festivals (voir ci-contre).