Les diatomées captent l’énergie solaire et génèrent un quart de l’oxygène sur Terre. Malgré leurs dures carapaces de silice, ces phytoplanctons sont dévorés par les copépodes, amorçant ainsi la chaîne alimentaire. Les diatomées sont des protistes, des êtres unicellulaires à noyau. Elles vivent en solitaire ou forment de longues chaînes, éventails, zig zags ou spirales. Les diatomées centriquesapparaissent au Jurassique il y a 200 millions d’années, le fruit de combinaisons chimériques entre algues et levures qui alors peuplent les océans. Depuis, les diatomées ont acquises de nouvelles formes, gènes et métabolismes. Elles sont devenues les championnes de la photosynthèse, tout en gardant des propriétés de cellules animales. Avec leurs consœurs protistes, les diatomées ont fait grimper le taux d’oxygène et chuter le CO2 atmosphérique. Lestées du poids de leurs carapaces, elles ont sédimenté au fond des mers, devenant couches siliceuses et sources de pétrole. Il y a 65 millions d’années, lorsque les dinosaures disparaissent, les diatomées survivent à l’extinction de masse et s’adaptent aux régions polaires, où elles pullulent. Surgissent alors des diatomées dites pennées. Elles colonisent de nouvelles niches écologiques, glissent ou s’agrègent en bio-films, dégageant parfois des toxines qui dévastent les élevages aquacoles. Sous un soleil puissant, si fer et silice abondent, les diatomées prolifèrent en se divisant. A chaque division elles rapetissent, devenant des modèles réduits. Pour survivre elles doivent restaurer leur taille originale. Les diatomées miniatures deviennent alors gamètes mâle et femelle qui donnent naissance à des enfants dépassant la taille des parents. C’est ainsi que les diatomées prolifèrent près des pôles en blooms spectaculaires, visibles depuis l’espace. Les diatomées captent l’énergie solaire et génèrent un quart de l’oxygène sur Terre. Malgré leurs dures carapaces de silice, ces phytoplanctons sont dévorés par les copépodes, amorçant ainsi la chaîne alimentaire. Les diatomées sont des protistes, des êtres unicellulaires à noyau. Elles vivent en solitaire ou forment de longues chaînes, éventails, zig zags ou spirales. Les diatomées centriquesapparaissent au Jurassique il y a 200 millions d’années, le fruit de combinaisons chimériques entre algues et levures qui alors peuplent les océans. Depuis, les diatomées ont acquises de nouvelles formes, gènes et métabolismes. Elles sont devenues les championnes de la photosynthèse, tout en gardant des propriétés de cellules animales. Avec leurs consœurs protistes, les diatomées ont fait grimper le taux d’oxygène et chuter le CO2 atmosphérique. Lestées du poids de leurs carapaces, elles ont sédimenté au fond des mers, devenant couches siliceuses et sources de pétrole. Il y a 65 millions d’années, lorsque les dinosaures disparaissent, les diatomées survivent à l’extinction de masse et s’adaptent aux régions polaires, où elles pullulent. Surgissent alors des diatomées dites pennées. Elles colonisent de nouvelles niches écologiques, glissent ou s’agrègent en bio-films, dégageant parfois des toxines qui dévastent les élevages aquacoles. Sous un soleil puissant, si fer et silice abondent, les diatomées prolifèrent en se divisant. A chaque division elles rapetissent, devenant des modèles réduits. Pour survivre elles doivent restaurer leur taille originale. Les diatomées miniatures deviennent alors gamètes mâle et femelle qui donnent naissance à des enfants dépassant la taille des parents. C’est ainsi que les diatomées prolifèrent près des pôles en blooms spectaculaires, visibles depuis l’espace.