Les gens font le détour, trois kilomètres pour venir le soir et trois le lendemain matin pour retrouver le GR 65. Il y a de plus en plus de demandes mais on ne peut pas suivre, sinon on agrandirait. Ma maman est là tout le temps, mes copines viennent nous aider de temps en temps et mon fils le plus jeune, quand il n'est pas à l'école. Sur notre secteur, il y en aurait un ou deux gîtes de plus, ils travailleraient aussi. Les gens sont très demandeurs de toute cette histoire de l'agriculture raisonnée, raisonnable, pas intensive. La façon dont on travaille ici n'a rien à voir avec la façon dont on travaille ailleurs. On cherche vraiment l’authenticité.